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Cette œuvre érige le graffiti en sculpture autonome. Le lettrage, dressé comme une signature en apesanteur, semble surgir directement de la bombe écrasée — comme si le geste avait laissé une empreinte tangible, figée dans l’instant.
Ici, la coulure devient pilier, le style devient structure. Le tag, habituellement éphémère sur les murs, se redresse et revendique sa place dans l’espace. Une affirmation brute : le nom, l’acte, l’outil… fusionnés dans une même pièce.
Sculpture d'une véritable bombe de peinture avec un Graffiti en résine
